N'est-ce pas Arthur Miller, qu'on aperçoit, au fond ? C'est un écrivain honorable, M. Miller, et ses mémoires ne manquent pas d'intérêt, surtout pour ce qu'elles font revivre de l'Amérique, mais enfin, de là à prétendre que son mariage avec Marilyn réunissait le cerveau (lui) et le corps (elle), c'est très exagéré ! Car, du point de vue du cerveau aussi, Marilyn le laisse loin derrière. La mysoginie hollywoodienne, qui s'est manifestée très longtemps après la mort de la star, se débarrassait ainsi de la peur qu'elle lui avait inspirée. Certes, la partie était trop inégale, mais, par la seule force de son cerveau, par sa détermination, elle avait fait trembler Hollywood. Belle photographie, M. Jo !
RépondreSupprimerMystérieuse et nuageuse tendresse...
N'est-ce pas Arthur Miller, qu'on aperçoit, au fond ? C'est un écrivain honorable, M. Miller, et ses mémoires ne manquent pas d'intérêt, surtout pour ce qu'elles font revivre de l'Amérique, mais enfin, de là à prétendre que son mariage avec Marilyn réunissait le cerveau (lui) et le corps (elle), c'est très exagéré ! Car, du point de vue du cerveau aussi, Marilyn le laisse loin derrière. La mysoginie hollywoodienne, qui s'est manifestée très longtemps après la mort de la star, se débarrassait ainsi de la peur qu'elle lui avait inspirée. Certes, la partie était trop inégale, mais, par la seule force de son cerveau, par sa détermination, elle avait fait trembler Hollywood.
RépondreSupprimerBelle photographie, M. Jo !