C'était passionnant de vivre au milieu de ces belles voitures. Il y en avait des rouges, des bleues, des
oranges, des jaunes et des vertes.
«Comme je voudrais en avoir une à moi tout seul! se disait-il. Je la soignerais bien et le dimanche j'irais me promener dans la campagne. Oh! bien sûr, ce n'est pas la peine d'y penser. Je n'aurai jamais assez d'argent. Et pourtant j'aimerais tant avoir cette petite auto jaune !»
Il s'approcha de la voiture et pressa sur l'avertisseur : Tudut! Tudut! Tudut!
Le patron fit un bond et faillit en perdre son bicorne.
«Eh, là-bas! cria-t-il. Tu n'es pas ici pour jouer avec les voitures. Allez! au travail!
- Excusez-moi, je ne recommencerai plus », dit Oui-Oui.
Et il se remit à frotter de toutes ses forces. Bientôt, il put se mirer dans les capots luisants des voitures. Le patron était très content de lui.
«Reviens donc me voir demain, lui dit-il. Et voici ce que tu as gagné aujourd'hui.»
Oui-Oui rentra chez lui en gambadant. Il serrait bien fort dans sa main ses grosses pièces rondes. Sa tête bourdonnait.
«Je vais donner une moitié de ma paie à Potiron et je garderai l'autre. Et, ce soir, je m'offrirai un bon dîner. Voyons, je vais acheter deux pots de confitures et une grosse glace. Et puis, je m'assiérai à ma table sur ma chaise. Ce sera bien agréable !»
«Comme je voudrais en avoir une à moi tout seul! se disait-il. Je la soignerais bien et le dimanche j'irais me promener dans la campagne. Oh! bien sûr, ce n'est pas la peine d'y penser. Je n'aurai jamais assez d'argent. Et pourtant j'aimerais tant avoir cette petite auto jaune !»
Il s'approcha de la voiture et pressa sur l'avertisseur : Tudut! Tudut! Tudut!
Le patron fit un bond et faillit en perdre son bicorne.
«Eh, là-bas! cria-t-il. Tu n'es pas ici pour jouer avec les voitures. Allez! au travail!
- Excusez-moi, je ne recommencerai plus », dit Oui-Oui.
Et il se remit à frotter de toutes ses forces. Bientôt, il put se mirer dans les capots luisants des voitures. Le patron était très content de lui.
«Reviens donc me voir demain, lui dit-il. Et voici ce que tu as gagné aujourd'hui.»
Oui-Oui rentra chez lui en gambadant. Il serrait bien fort dans sa main ses grosses pièces rondes. Sa tête bourdonnait.
«Je vais donner une moitié de ma paie à Potiron et je garderai l'autre. Et, ce soir, je m'offrirai un bon dîner. Voyons, je vais acheter deux pots de confitures et une grosse glace. Et puis, je m'assiérai à ma table sur ma chaise. Ce sera bien agréable !»
[Enid Blyton, † le 28 novembre 1968. L'anniversaire de Maria Farantouri, sinon, celui de Gato Barbieri, clic-clic. Lotte Lenya, aussi, on écoute PJ Harvey ; et on relit Willeford.]
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