Il me reste tout juste un paquet de vos précieuses Gauloises et une petite moitié de vodka. Ce qui constitue une bonne unité de temps, pour parler. J'ai réussi à cacher ces trésors au toubib et à l’infirmière. Ils m'ont fait la charité de ne pas trop les chercher. Ce qui confirme que, au cas où j'aurais eu des doutes, la fin est proche. De toute façon. Je vais donc boire et fumer en parlant une dernière fois avec vous.
[Nous cheminons entourés de fantômes aux fronts troués, ce sont les mots de Natalia Sedova. L'an dernier pareil clic-clic, Bourdieu aussi.]
C'est tellement bon que j'ai failli devenir trotskyste... C'est dire.
RépondreSupprimerMême pas honte ... clic-clic
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