jeudi 28 février 2013

Zazou partout (des journées entières dans les livres #144)

Les marins qui étaient restés dans le Cronstadt ’en paix’ jusqu’au commencement de 1921, sans trouver d’emploi sur aucun des fronts de la guerre civile, étaient, en règle générale, considérablement en dessous du niveau moyen de l’Armée rouge et renfermaient un grand pourcentage d’éléments démoralisés, qui portaient d’élégants pantalons bouffants et se coiffaient à la façon des souteneurs. 

[Lev Davidovitch, hélas : tout ça, pour le moins, ne nous rajeunit pas. Cronstadt, ça (re)démarre le 28 février 1921. Judy Nylon aussi clic-clic, Roger Roger et ses musiques idiotes, Maximilien Rubel et ses foutues idées (bouclée la boucle).]

[Et on aime bien, savez-vous, notre billet du 29 février (enfin plus un) clic-clac.]

1 commentaire:

  1. Et que ça me rappelle une brève de Charlie à l'époque où celui-ci valait encore le coup :

    "Il a fait beau à la fête de Lutte ouvrière.
    - Ca n'était pas arrivé depuis Cronstadt."

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