mardi 18 septembre 2012

La Sainte-Nada (des journées entières dans les livres #112)

Tendre la joue, c'est bien joli, mais que faire quand on a en face de soi des gens qui veulent tout détruire ?

clic-clic

2 commentaires:

  1. Chez Manchette, le travail sur le personnage reste pour moi le plus impressionnant. Dans Nada, avant la scène finale de l'affrontement, ce qui se joue entre les différents protagonistes est exprimé avec une efficacité rare. Beaucoup d'auteurs d'aujourd'hui devraient apprendre à construire et à faire vivre leurs personnages.
    Pour l'adaptation littéraire, la plupart des auteurs de scripts ne font que découper l'intrigue en séquences et scènes alors que le travail consiste à re-construire totalement le texte avec l'image comme moteur principal.
    Et il arrive ce qui arrive à présent : Julius emmerde tous le monde avec ses commentaires....

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  2. La raison pour laquelle Julius Marx commente ainsi, faut-il la chercher surtout dans la place de Julius dans les rapports de production ?
    Bienvenue en tous cas sur cet éphéméride. On a renvoyé il y a peu sur votre plus qu'utile mise en ligne de "l'art et Isadora".

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