Au commencement est l'inaction. La mort violente prend son temps, laissant tout loisir au spectateur de découvrir le lieu où elle ne manquera pas de se produire, de s'attarder sur des visages, des gestes, des tenues vestimentaires, des objets divers, etc., toute une réalité dont les autres westerns bâclaient, je m'en rendis compte, la représentation.
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Hum...
RépondreSupprimerLe beau Sergio.
SupprimerUn véritable feu d'artifice !
RépondreSupprimer"Chapeau" bas, cher JoëlH