C'est comme pour les restaurants, on donne aux intimes les bonnes adresses. Merci, M. Jo ! J'ai regretté, vraiment, que Gainsbarre, créature du show business, dévore Gainsbourg, artiste français de la seconde moitié du XXe siècle. Sa première femme en parle fort bien.
C'est comme pour les restaurants, on donne aux intimes les bonnes adresses. Merci, M. Jo !
RépondreSupprimerJ'ai regretté, vraiment, que Gainsbarre, créature du show business, dévore Gainsbourg, artiste français de la seconde moitié du XXe siècle. Sa première femme en parle fort bien.