dimanche 11 septembre 2011

11 septembre

L'an dernier, Rancillac pareil clic-clic.

[Dieu sait qu'on n'avait pas de mots assez durs pour ce n-ième réformisme désarmé, qu'on a vu venir le golpe, qu'on en tenait presque le compte à rebours : à pas même quinze ans, on en savait déjà assez dans ces années-là sur l'inanité, restons polis, des sic révolutions par les urnes. On le savait, rien ne nous a vraiment étonné de ce désastre, sinon la tenue de cet homme dont on n'attendait rien, avec ses airs de conservateur des hypothèques, cet homme qui dit la felonía, la cobardía y la traición.]

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