Charles, duc d'Orléans, comte de Valois et de Blois, comte d' Asti, † le 5 janvier clic-clic1465. Sinon, 60s obligent, Sonny Bono, oui celui de Sonny & Cher.
Il n'y a besoin d'aucune bienveillance. C'est très joli, très touchant, pour moi en tous cas. Avec toujours dans mon coeur / Mon ami(e) éternelle / Ma belle vie est réelle.
Tous mes vœux vous accompagnent, M. Joe. Que cette année, qui s'annonce rude, vous épargne ainsi que tous ceux qui vous sont chers. Je vois chez vous Fausto Coppi, mon idole du cyclisme, avec Jacques Anquetil. Il y avait, à Paris, Passage des Panoramas, une trattoria où l'on servait une cuisine fine et élégante. On pouvait y admirer un buste de Coppi, que vénéraient la patronne et les serveurs. La trattoria a fermé ses portes. Le buste était encore là l'an dernier.
Avez vous photographié ce buste, cette trattoria, ce passage ? Montrez-nous ça, si c'est le cas. [pour les amateurs : Patrick vient de publier sur son blog la belle version Bashung - Mons - Burger du Cantique des cantiques.]
Le passage, oui, je l'ai photographié, mais point la trattoria, ni le buste. On l'apercevait encore, il y a quelques mois, dans le fond de la salle, désaffectée. J'y retournerai prochainement, je verrai ce que je peux faire. L'admiration des propriétaires et du personnel de cet établissement pour il campionissimo était très touchant. Ce buste était placé de telle manière qu'on le voyait depuis toutes les tables. Il faudrait que vous nous parliez plus en détail de la fameuse Dame blanche, dont la seule évocation suscitait la béatitude amoureuse chez ma mère et ses amies. Elle incarnait le chagrin irréparable, la perte brutale, le saccage du destin, et puis l'élégance, le retrait voilé.
Elle incarnait le chagrin irréparable, la perte brutale, le saccage du destin, et puis l'élégance, le retrait voilé. En tout cas, là, vous avez fait mal.
...car ils ont des rimes plein l'âme, des rimes qui rient et qui pleurent, qui nous font rire ou pleurer : Laissez-les vivre : Dieu bénit tous les miséricords, et le monde bénit les poètes. 3 Heures du matin : c'est l'heure Joël H.
rondeau, comme un refrain, un écho, tentative je vous dis,
RépondreSupprimer... et votre bienveillance
http://en214b.wordpress.com/
Il n'y a besoin d'aucune bienveillance. C'est très joli, très touchant, pour moi en tous cas.
RépondreSupprimerAvec toujours dans mon coeur / Mon ami(e) éternelle / Ma belle vie est réelle.
Tous mes vœux vous accompagnent, M. Joe. Que cette année, qui s'annonce rude, vous épargne ainsi que tous ceux qui vous sont chers.
RépondreSupprimerJe vois chez vous Fausto Coppi, mon idole du cyclisme, avec Jacques Anquetil. Il y avait, à Paris, Passage des Panoramas, une trattoria où l'on servait une cuisine fine et élégante. On pouvait y admirer un buste de Coppi, que vénéraient la patronne et les serveurs. La trattoria a fermé ses portes. Le buste était encore là l'an dernier.
Avez vous photographié ce buste, cette trattoria, ce passage ? Montrez-nous ça, si c'est le cas.
RépondreSupprimer[pour les amateurs : Patrick vient de publier sur son blog la belle version Bashung - Mons - Burger du Cantique des cantiques.]
Le passage, oui, je l'ai photographié, mais point la trattoria, ni le buste. On l'apercevait encore, il y a quelques mois, dans le fond de la salle, désaffectée. J'y retournerai prochainement, je verrai ce que je peux faire.
RépondreSupprimerL'admiration des propriétaires et du personnel de cet établissement pour il campionissimo était très touchant. Ce buste était placé de telle manière qu'on le voyait depuis toutes les tables. Il faudrait que vous nous parliez plus en détail de la fameuse Dame blanche, dont la seule évocation suscitait la béatitude amoureuse chez ma mère et ses amies. Elle incarnait le chagrin irréparable, la perte brutale, le saccage du destin, et puis l'élégance, le retrait voilé.
Elle incarnait le chagrin irréparable, la perte brutale, le saccage du destin, et puis l'élégance, le retrait voilé.
RépondreSupprimerEn tout cas, là, vous avez fait mal.
Bonjour Alfonso, qui saute d'Azincourt à Charles d'Orléans.
RépondreSupprimer...car ils ont des rimes plein l'âme, des rimes qui rient et qui pleurent, qui nous font rire ou pleurer : Laissez-les vivre : Dieu bénit tous les miséricords, et le monde bénit les poètes.
RépondreSupprimer3 Heures du matin : c'est l'heure Joël H.