Et nous n'aurons jamais sommeil.
Jacques Le Glou circa 1974
[Pour Jacques Lanzmann, † le 21 juin 2006. On le fêtait déjà l'année dernière clic-clac, avec excusez du peu Marianne Faithfull, Dos Passos et Rudolph Valentino.]
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RépondreSupprimerJe ne saurais choisir quelle titre je préfère, mais je crois que j'ai d'avantage écouté le magnifique La vie s'écoute, la vie s'enfuit.
RépondreSupprimerAujourd'hui ce sera donc Il est cinq heures, paris s'éveille.
L'auteur de ce détournement (qui est aussi le concepteur et producteur de ce disque), Jacques Le Glou, est décédé le 9 décembre 2010 à l’âge de 70 ans…
RépondreSupprimerLa vie s'écoule, Mr PM, vous avez parfaitement raison, la plus belle du disque - pas un détournement en revanche. On l'avait passée, un jour de Saint-Raoul (Vaneigem).
RépondreSupprimerPour en savoir plus sur Jacques Le Glou, une bio de No¨el Godin clic-clic
Erreur dans la bio de Noël Godin, qui écrit :
RépondreSupprimer"Orchestrateur de la rédaction du Monde libertaire, Jacques Le Glou est mis à pied pour avoir écrit :
« Grand malheur pour la pensée française ! André Breton est mort et Louis Aragon toujours vivant ! »"
En réalité, ce tract écrit par Jacques Le Glou et quelques autres du Monde libertaire – paru en novembre 1966 et reproduit en une du Monde libertaire – disait :
« Breton est mort, Aragon est vivant… C’est un double malheur pour la pensée honnête. »
Cela valut effectivement aux responsables du Monde libertaire leur mise à pied par Maurice Joyeux qui, grand ami de Monique Morelli, elle même grande amie d'Aragon, s'était fait tancer d'importance par la chanteuse…
http://www.arcane-17.com/pages/surrealisme-anarchisme/la-claire-tour.html
Douce idée, cher Joël H., d'évoquer la mémoire de Jacques Lanzmann, le frère de Claude. Je dirai simplement un mot de ses romans ; je les ai tous lus et j'en relis parfois des passages. Lanzmann fut une de mes lectures préférées et je profite de votre bel hommage pour rappeler ce titre que je me permets de conseiller : "Les nouveaux territoires". Publié en 1973, ce court roman préfigurait ce qui se passe aujourd'hui...
RépondreSupprimer- et aussi le si sympathique seveux sur la langue de Lanzmann quand il parlait !