Le 25 février 1922, on guillotina Henri Désiré Landru devant la prison de Versailles. Sa dernière volonté aurait été de se laver les pieds, qui lui fut refusée par crainte d'un suicide.
Un monde de perspectives
Il y a 6 heures
(pour le monde qui va)
On entend certaines féministes aujourd'hui, on voit se profiler pour Lundi Prochaine, une journée Internationale de la Femme, moment festif où il apparaitra que Christine Lagarde est une chouette dame, et c'est con, on n'y peut rien, mais on le regrette, le Désiré.
RépondreSupprimerAttention, Major, notre cher HD serait, aux dernières nouvelles, femino-festivo-compatible : voir par exemple la récente recension, sur Causeur.fr, du "Landru, précurseur du féminisme" de Jean-Baptiste Botul (Editions Mille et une nuits)
RépondreSupprimerIl me semble qu'un jeune normalien, du nom de Lévy, en a fait lui aussi l'éloge dans un ouvrage à peine fumiste consacré à Kant.
RépondreSupprimerLandru, espoir des femmes!