Lorsque mes ambitions d'animal de proie me poussèrent vers ce labyrinthe brutal de mort, de honte et de trahison en 1951, ce n'était que mon commencement. Lorsque l'écheveau eut fini de se dévider en 1955, je compris que le désir consenti de me mouvoir en la compagnie, d'être partie prenante, de ces dizaines d'existences que leurs forces d'entrainement démoniaques avaient conduites en transit clandestin, c'était ça les merveilles - tout autant que ma rédemption ultime.
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