
[On manifestait, bien sûr, on se dispersait, comme toujours, et on n'a pas su la mort, ce premier octobre, de Philippe Robrieux. Un de nos maîtres, de ceux que l'on n'a jamais vu, ni entendu - mais on a lu et relu ces gros livres rouges, tant nous était nécessaire de comprendre un tant soit peu le pourquoi du comment du désastre.]
oui, bon, hein, bon
RépondreSupprimerSon Thorez, en particulier. Tiens, ça me fait penser que vous lisiez le Wieviorka (Maurice et Jeannette) : recommandable ?
RépondreSupprimerOui, vraiment. Crtitique mais étonnamment empathique, le contraire des Courtois Kriegel et compagnie.
RépondreSupprimerPhilippe Robrieux, je l'ai rencontré, je crois, à l'occasion d'une conférence. Il m'avait donné l'impression d'un homme résolu, non point blessé par son passé, mais acharné à l'analyser. C'était aussi une puissante mécanique intellectuelle. Il m"a laissé un le souvenir d'un homme fort, mêlé de sympathie.
RépondreSupprimer