C'est quelque chose, surtout sur scène et avec les musiciens qui ont fait un bout de chemin avec lui en 1987 pour lui donner un coup de pouce (il était au creux de la vague) - Tom Waits, Elvis Costello, Bruce Springsteen...
Outre ses chansons et une vie de merde comme on n'imagine pas, ce qui frappe chez Orbison c'est l'attraction qu'il exerçait sur les plus grands - ceux déjà cités, les Traveling Wilburys (Dylan, Petty, Harrison ...), les Beatles, etc. etc.
Hervé Bazin, mon dieu, il y a bien longtemps que je n'en avais pas entendu parler. Avec Bertrand Clavel, mes premières lectures hors rayon jeunesse. Huit, neuf ans, insatiable, comprenais pas tout, pas grave : lisais quand même.
C'est quelque chose, surtout sur scène et avec les musiciens qui ont fait un bout de chemin avec lui en 1987 pour lui donner un coup de pouce (il était au creux de la vague) - Tom Waits, Elvis Costello, Bruce Springsteen...
RépondreSupprimerOutre ses chansons et une vie de merde comme on n'imagine pas, ce qui frappe chez Orbison c'est l'attraction qu'il exerçait sur les plus grands - ceux déjà cités, les Traveling Wilburys (Dylan, Petty, Harrison ...), les Beatles, etc. etc.
RépondreSupprimerL'ultime album, Mystery Girl,quasi posthume mon retour de l'armée, l'hiver 88, j'ai écrit sur lui...
RépondreSupprimerI'd be a legend in my time
Une coupe de cheveux comme Hervé Bazin, mais quelle voix!
RépondreSupprimerHervé Bazin, mon dieu, il y a bien longtemps que je n'en avais pas entendu parler. Avec Bertrand Clavel, mes premières lectures hors rayon jeunesse. Huit, neuf ans, insatiable, comprenais pas tout, pas grave : lisais quand même.
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