Violente averse. Mets toi face à la pluie, laisse ses rayons de fer te pénétrer, glisse dans l'eau qui veut t'emporter, et malgré tout demeure, attends, debout, le soleil qui va couler à flots, subitement et sans fin.
[Pour ainsi dire, mes voeux pour les lecteurs de ce blogue : que chacun demeure, passant ami camarade, encore un an, debout, un an encore. Le soleil, peu importe, il coulera bien un jour - à flots, subitement et sans fin.]
[Pour ainsi dire, mes voeux pour les lecteurs de ce blogue : que chacun demeure, passant ami camarade, encore un an, debout, un an encore. Le soleil, peu importe, il coulera bien un jour - à flots, subitement et sans fin.]
Espérons fort , très fort Joël et bonne année a toi
RépondreSupprimerHeureuse année, cher Joël !
RépondreSupprimerEt que tous soient préservés !
Bonne année !
RépondreSupprimerWord !
RépondreSupprimeret bonne année !
Faut-il répondre aux voeux de ceux qui répondent aux voeux ? N'en sais rien, bonne année en tous cas, et merci de passer par là - [lu par Mister Chroniques Blues, je l'ignorais, tout fier je suis].
RépondreSupprimerDes conventions Joël, juste des conventions, Mais cela n'empêche pas, quelques fois aux personnes qu'on aime bien, amitié jean
RépondreSupprimerUne excellente année 2011 à vous, cher Joël, ainsi qu'à "La crevaison !" et ses douces chroniques
RépondreSupprimerMerci Florence !
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