dimanche 24 juillet 2011

But we have the music




Pour une chanteuse morte, running for the money and the flesh, Chelsea Hotel #2 : la version de Lloyd Cole, un peu moins plombée que l'originale, les mots suffisent.

Clenching your fist for the ones like us
Who are oppressed by the figures of beauty,
You fixed yourself, you said : Well never mind,
We are ugly but we have the music.

[L'an dernier, sinon, c'était La Manic de Georges Dor, clic-clic : j'ai même mis en ligne la version de Pauline Julien, introuvable - plus maintenant clic-clac.]

3 commentaires:

  1. Dans "Just Kids", Patti Smith évoque aussi très bien cette période du Chelsea Hotel. Au détour d'un couloir, d'un escalier, on y croise plusieurs de ces poètes musiciens chanteurs qui n'atteindront pas leurs vingt-huit ans.

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  2. On lira ça au soleil (????????????????)dans 3 semaines.

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  3. Autre astre disparu trop tôt, sans doute. Si vous allez vers le Sud, vous devriez néanmoins en trouver encore quelques traces...

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