Je découvre, on peut même dire que je commence juste à découvrir : une culture pleine de trous, c'est ainsi. [Inutile de dire que ce que je découvre de Calaferte donne envie d'insister.]
Turin-Lyon… Un itinéraire que vous connaissez bien, n'est-ce pas, M. Jo ? Moi aussi, je suis passé à côté de Calaferte, mais je reviendrai à lui. J'avais lu, de lui, un livre très érotique, très excitant, et, crois-je me rappeler, censuré : Septentrion. Il s'en dégageait une énergie folle, une grande attention à toutes les "choses” de la vie. Il y a peu, j'ai trouvé, à vil prix, un dvd intitulé “La mécanique des femmes”, film tiré de l'un de ses livres. Je ne l'ai pas visionné immédiatement, et, quand j'ai voulu le faire, impossible de mettre la main dessus ! Oui, M. Jo, vous avez bien raison : il ne faut pas oublier Louis Calaferte ! Pardonnez-moi d'insister, M. Jo, mais Turin-Lyon, ou de Calaferte des origines à Calaferte adulte, grand dévorateur de livres… N'est-ce pas le début d'une piste, qui vous a conduit à cet écrivain si singulier ?
La mécanique des femmes, Septentrion...les pieds entre la lune et le caniveau.
RépondreSupprimerJe découvre, on peut même dire que je commence juste à découvrir : une culture pleine de trous, c'est ainsi.
RépondreSupprimer[Inutile de dire que ce que je découvre de Calaferte donne envie d'insister.]
Turin-Lyon… Un itinéraire que vous connaissez bien, n'est-ce pas, M. Jo ? Moi aussi, je suis passé à côté de Calaferte, mais je reviendrai à lui. J'avais lu, de lui, un livre très érotique, très excitant, et, crois-je me rappeler, censuré : Septentrion. Il s'en dégageait une énergie folle, une grande attention à toutes les "choses” de la vie. Il y a peu, j'ai trouvé, à vil prix, un dvd intitulé “La mécanique des femmes”, film tiré de l'un de ses livres. Je ne l'ai pas visionné immédiatement, et, quand j'ai voulu le faire, impossible de mettre la main dessus ! Oui, M. Jo, vous avez bien raison : il ne faut pas oublier Louis Calaferte !
RépondreSupprimerPardonnez-moi d'insister, M. Jo, mais Turin-Lyon, ou de Calaferte des origines à Calaferte adulte, grand dévorateur de livres… N'est-ce pas le début d'une piste, qui vous a conduit à cet écrivain si singulier ?
Turin, Patrick, je la connais si peu, et si mal - moi, c'est Milan !
RépondreSupprimerJ'mes trompé, M. Jo, j'allais si souvent à Turin, naguère ! C'était si bien !
RépondreSupprimerPlace Carlo Alberto, ne pas oublier d'embrasser un cheval.
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