lundi 14 mars 2011

Vol de nuit sur l’Antarctique



Jamais d’escale, jamais de contact
Avec l’ordinaire.

1 commentaire:

  1. On passe en coup de vent, on aperçoit Bashung, la belle Gena (Gloria in excelcis Deo), et même, de dos, son mari, John Cassavetes, bel homme fiévreux, chef d'une bande de vrais indépendants ; on voit aussi Parker (quelle photographie !), et encore de Niro, dans sa grande pâleur mutique (« Bob, je vous en prie, cessez de tourner uniquement pour vous offrir un immeuble supplémentaire ! Donnez-nous un dernier grand rôle ! »). Godard est là, sa légèreté d'être, et Anna, qu'il a tant aimée ! Alors, bien sûr, on ne fait que passer, mais on salut, on remercie, on admire !

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