La Félure, c'était poésie, merveilles et golf ; moi, c'était femmes, merveilles et golf. Par "merveilles", j'entends la même chose pour tous les deux : le boulot, les rues, les gens et l'éthique mouvante de ceux-là mêmes, à savoir nous, qui quotidiennement avaient leur lot de poivrots, de fêlés, de lopes et de demi-sels, d'exhibitionnistes, de racoleuses, de fumeurs de joints, de cambrioleurs, de tous les détritus solitaires et sans nom de la race humaine.
[Lee Earle Ellroy, né le 4 mars 1948 à Los Angeles : la photo est de Patrick Swirc. Un 4 mars aussi mourait Claude Nougaro, qu'on écoutait ici clic-clic chanter Audiberti - une de ces chansons qui défient le temps.]
Cher Joël H.,
RépondreSupprimerJe ne sais par quelle aberration internétique un commentaire que vous aviez laissé sur mon blogue a échoué dans la rubrique spam. Je m'en aperçois seulement aujourd'hui. Je l'ai réexpédié vers sa destination ("On ne se refait pas"). Pardonnez ce contre-temps. Merci pour ce commentaire. Bien à vous, F.S.