Mais attendez. Avant qu'on me passe cet horrible sac sur la tête, j'ai le droit de dire quelque chose. Qu'est-ce que je vais raconter ? Il y a quelque chose de terriblement banal dans les dernières paroles des criminels endurcis sur le gibet. Je dirai simplement : "Auf Wiedersehen, cochons d'enculés !".
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