Je peins tous les jours et pourtant je me demande si je ne pense pas autant à la vie et aux conditions de vie des individus qu’à la peinture.
[Chien pissant sur son matricule (Faillite de la Science Bourgeoise, 1973) - un tableau de Paul Rebeyrolle, mort le 7 février 2005. Paul Rebeyrolle d'Eymoutiers - la ville où l'on sait clic-clic ce qui arrête les trains. Au sujet de Guingouin, on parlait ici même d'Izis clic-clic : on en parle beaucoup plus chez le Copain de Doisneau clic-clic, et on y parle aussi de Monique Morelli - Maintenant que la jeunesse, La crevaison ! un an tout rond clic-clic.]
[Chien pissant sur son matricule (Faillite de la Science Bourgeoise, 1973) - un tableau de Paul Rebeyrolle, mort le 7 février 2005. Paul Rebeyrolle d'Eymoutiers - la ville où l'on sait clic-clic ce qui arrête les trains. Au sujet de Guingouin, on parlait ici même d'Izis clic-clic : on en parle beaucoup plus chez le Copain de Doisneau clic-clic, et on y parle aussi de Monique Morelli - Maintenant que la jeunesse, La crevaison ! un an tout rond clic-clic.]
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RépondreSupprimerA votre avis, ça importe encore en ces temps de diffusion mondiale et généralisée des images, des valeurs et des réputations ?
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RépondreSupprimerGuingouin, Izis, je ne connaissais pas. Et pourtant, j'en connais pas mal. Je découvre. Merci Joël.
RépondreSupprimerPour Guingouin, quelques belles photos et les mots qu'il faut chez Jérôme Leroy.
RépondreSupprimerEt, où avais-je la tête, un monumental et superbe Cyclope, Hommage à Georges Guingouin, de Rebeyrolle lui même, facile à trouver sur le ouèbe.
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