Ella Fitzgerald Sings the George and Ira Gershwin Songbook : en 1959, à 41 ans, Ella est parait-il au sommet de son art et fait encore appel à quelques uns des meilleurs, Nelson Riddle aux arrangements, Bernard Buffet pour les pochettes - ici juste un clin d'oeil, et une chanson clic-clic. Le reste, images et musique, vaut tout autant le déplacement.
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Découvrir ce dessin de Buffet est un ravissement.
RépondreSupprimerLà, nous sommes d'accord, et même raccords, comme disent les jeunes. Cette réunion de grands noms ne veut que l'admiration béate, « et puis c'est tout », comme vous dites…
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé, également, les propos de Pierre sur l'accordéon : ils sont d'un connaisseur.
Eh eh eh ... je me doutais bien que vous ne pourriez pas y résister.
RépondreSupprimerComment résister à une coalition de talents, M. Jo ?
RépondreSupprimerAutre chose : en lisant le livre que Tahar Ben Jelloun a consacré à Jean Genet (Jean Genet, menteur sublime, Gallimard), j'ai découvert que ce dernier considérait Pierre Bourdieu comme un grand ami.
En revanche, André Manoukian… moyen ! Il me donne l'impression de « s'environner » de penseurs et de pensées comme on se parfume le matin.