mercredi 23 février 2011

Des journées entières dans les livres #44

Puisque tout est dit, puisque tout est accompli, que toutes clameurs, morales, philosophies se sont tues, je me dis que cette histoire est simplement un autre exemple de quelque chose.

[Sinon, la Saint-Alexandre, on écoutera encore une fois Alex Chilton clic-clic, US Billboard #1 à 16 ans avec ses Box Tops et son impeccable Letter. Sinon toujours, la Saint-Polycarpe clic-clic et la sagesse qui ne vient décidément pas.]

6 commentaires:

  1. Encore un OVNI de la Série Noire, après ceux signalés par Manchette dans ses Chroniques. L'un des bouquins les plus déjantés que j'aie lus : complètement branque, cette histoire d'aviateur archi-défoncé obsédé par la théorie des quantas !
    Il faudrait en citer des passages entiers.
    On ne sait rien de l'auteur, et ça m'a l'air fichtrement autobiographique : impossible d'inventer pareille histoire !

    L'un des meilleurs cadeaux qu'on puisse faire à n'importe qui (sauf à des proches d'Alain Bauer, évidemment)…

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  2. Il y a un site, que je découvre à l'instant : http://www.banditobooks.com/

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  3. Bon, alors je retire ce que j'ai écrit sur le mystère du bonhomme : deux autres bouquins, Can't You Get Along With Anyone ? et In Search of Captain Zero, et un film en cours de production… Intéressant, tout ça…

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  4. Physique cantique et banditos, très bon souvenir également du polar, et je n'étais pas du tout au courant des autres livres, ça m'intrigue...bon allez, je vais aller le déterrer de ma bibliothèque...

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  5. A la fin de mon SN 2288 d'époque : "On ne sait pas grand chose de A. C. Weisbecker et A. C. Weisbecker souhaite en rester là."

    Maintenant, on en sait un peu plus - entre autres, il ne manquait plus que ça, que c'est un surfer : clic-clic.

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  6. Mouif… En fin de compte, Internet nous rabat toujours le caquet de façon assez triste : dire que depuis des années j'imaginais ce type comme un fou furieux (ce qu'il est assurément, pour notre plus grande joie) dont on ne saurait jamais rien (ça, c'est mort), un peu comme le Rimbaud du Harrar…

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