Rinaldi n'a pas retrouvé de journal pour l'accueillir, Frank est mort… Ils incarnaient une manière de parler de la littérature, des livres, des écrivains, héritée du XIXe siècle, qui ne semble plus défendue que par Pierre Assouline, dans son très brillant blogue. « La panoplie littéraire », tout de même, quel superbe persiflage, quel talentueux exercice d'admiration contrariée ! je crois me souvenir qu'ici-même, vous saluiez la réédition de son roman (vrai, ou à clefs) « Les rats », qui baignait dans la « fraîcheur des commencements. ».
C'était Solde clic-clic, mais peu importe : je suis bien disposé à saluer, et comment, la réédition de tout livre de Bernard Frank. Sinon, j'aime bien lire Sorin clic-clic, qui a aussi un blog - mais plus paresseux qu'Assouline.
Oula! Oui Joël, magnifique et dure définition, bravo Joël
RépondreSupprimerWaou!!!
RépondreSupprimerMerci, Joël.
Rinaldi n'a pas retrouvé de journal pour l'accueillir, Frank est mort… Ils incarnaient une manière de parler de la littérature, des livres, des écrivains, héritée du XIXe siècle, qui ne semble plus défendue que par Pierre Assouline, dans son très brillant blogue.
RépondreSupprimer« La panoplie littéraire », tout de même, quel superbe persiflage, quel talentueux exercice d'admiration contrariée ! je crois me souvenir qu'ici-même, vous saluiez la réédition de son roman (vrai, ou à clefs) « Les rats », qui baignait dans la « fraîcheur des commencements. ».
C'était Solde clic-clic, mais peu importe : je suis bien disposé à saluer, et comment, la réédition de tout livre de Bernard Frank.
RépondreSupprimerSinon, j'aime bien lire Sorin clic-clic, qui a aussi un blog - mais plus paresseux qu'Assouline.
L'adresse de Sorin : http://lettres.blogs.liberation.fr/sorin/
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