Le piano à bretelle aime bien les doigts un peu ritals sur les bords. Ceux de Marcel le parisien et ceux d'Astor de Buenos Aires en particulier. Sans vouloir vous commander cher Joël, pourrions-nous avoir une petite pensée pour Piazzola le 4 juillet?
Effectivement, Monsieur Ubi, c'est du lourd - merci donc pour le lien. Je me moquerais volontiers des explications si je ne découvrais pas grâce à elles Vierzon et Vesoul, honte à moi.
Ça, c'est un document. Merci.
RépondreSupprimerLe piano à bretelle aime bien les doigts un peu ritals sur les bords. Ceux de Marcel le parisien et ceux d'Astor de Buenos Aires en particulier.
RépondreSupprimerSans vouloir vous commander cher Joël, pourrions-nous avoir une petite pensée pour Piazzola le 4 juillet?
Pierre, c'est comme si c'était fait. Paciencia, comme chantait Ferré dans un fameux flamenco.
RépondreSupprimerMagnifique Jacques Brel, magnifique Joël!
RépondreSupprimerCette version-ci balance aussi du (très) lourd :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=NrRdV6ocXiw&feature=related
Chauffe !
(et les explications à la fin sont topissimes...)
Effectivement, Monsieur Ubi, c'est du lourd - merci donc pour le lien. Je me moquerais volontiers des explications si je ne découvrais pas grâce à elles Vierzon et Vesoul, honte à moi.
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