Le 20 janvier 2010, on donnait ici-même clic-clic un lien vers les 12 numéros de la revue Internationale Situationniste, bulletin central édité par les sections de l'internationale situationniste, lequel lien fonctionne toujours, un an et pas un jour après. Numéro un : Les situationnistes exécuteront le jugement que !es loisirs d’aujourd’hui prononcent contre eux-mêmes.Loisirs donc, ici balnéaires, sous empire spectaculaire marchand (détail) : Arthur Weegee Fellig, Coney Island (il faut suivre), 1945.
Je possède les 12 lingots extra-plats. La phrase que vous citez est un tantinet obscure. La photographie, non. L'image, c'est l'essentiel.
RépondreSupprimerBalle au bond, est-il envisagé que soi(en)t remis en circulation votre (vos) livre(s) sur Debord, proprement introuvable(s) me disent les marchands ?
RépondreSupprimerNon. Vais, peut-être, le faire reparaître — comme quoi paraître ou être c'est la même chose — en feuilleton sur mon blogue, histoire de redevenir l'essayiste le moins lu de France.
RépondreSupprimerBonne idée - je veux dire la reparution.
RépondreSupprimerComme dérivatif, moi j'ai l'édition Van Gennep, si ça vous dit, Joël — mais quand même salement usée…
RépondreSupprimer"Monsieur Georges Lapassade est un con", concluait un numéro...
RépondreSupprimerPauvre Georges Lapassade, il risque fort de ne rester que pour ça. Ses démêlés avec les situs occupent déjà la moitié de sa notice Wikipedia ...
RépondreSupprimerOui, ça turlupine moins le plus con des Suisses pro-chinois…
RépondreSupprimerIl avait écrit L'entrée dans la vie, Lapassade, et il a passé l'arme à gauche. Les derniers temps, depuis longtemps à la retraite, il traînait encore dans les couloirs de la fac. de Saint-Denis, histoire de reluquer les gambettes des étudiantes (enfin, c'est ce que de mauvaises langues m'ont raconté)…
reluquer les gambettes des étudiantes
RépondreSupprimerUne raison, ma foi, qui en vaut bien d'autres.
Oh, ce n'était pas un reproche de ma part : le côté gombrowiczien de Lapassade, à n'en pas douter…
RépondreSupprimerMieux vaut ça, en effet, que d'aller quêter à la fac de petits stocks de connaissances abîmées revendus à la sauvette !