Dans La guerre est finie est affirmée l'impossibilité, aujourd'hui vérifiée et même au-delà, d'organiser à dates fixes, à froid, en la télécommandant de l'étranger par le biais d'un appareil clandestin, une action de masse d'ampleur nationale. On y affirme que l'action de masse est autonome et que si le parti peut y jouer un rôle en tant que levain et structure occasionnelle, en aucun cas, il ne saurait s'y substituer.
Bref, tout n'est pas léger dans La guerre est finie, Resnais 1966 : ça n'enlève rien aux lumineuses apparitions de Geneviève Bujold, qu'on retrouvera plus tard avec Richard Burton dans Anne of the Thousand Days, ce soir sur Arte.
Aah, Geneviève...
RépondreSupprimerAïe Aïe ce salaud de Burton vient de lui faire couper la tête.
RépondreSupprimer