vendredi 6 août 2010

Coup de grâce

Une pensée quand même pour Willy DeVille, un an pile, et tant qu'à faire une autre aussi pour Mort Shuman.




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2 commentaires:

  1. Patrick Mandon6 août 2010 à 22:59

    Willy «Mink» de Ville ! C'était au Palace, au début des années Quatre-vingts. Il adorait Paris, la France, Jean Cocteau. Beaucoup d'allure, d'excellentes chansons. Il y avait autour de lui une ferveur étincelante. La nuit lui appartenait, et nous étions dans la nuit…
    Vos choix récents, M. Jo, sont, eux aussi, étincelants ; et que dire de cet émouvant témoignage de Pasolini sur Marilyn, «povera sorellina minore» ! J'allais très précisément le placer dans mon blogue. Vous m'avez devancé : le Paradis sera pour vous…

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  2. Joël H.6 août 2010 à 23:35

    Il adorait Paris, la France,
    Au point d'y enregistrer son Chat Bleu de 1980, disque maudit, arrangé en partie par Jean-Claude Petit.

    Jean Cocteau
    Et Piaf (on trouve sur Youtube un reportage le montrant, avec Charles Dumont, sur les traces d'EP), au point de reprendre Les amants, en français par moments.

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