ses labeurs, ses peines, ses joies, ses espoirs et ses œuvres deviendront comme s’ils n’avaient pas existé, nulle conscience n’étant plus là pour préserver fût-ce le souvenir de ces mouvements éphémères sauf, par quelques traits vite effacés d’un monde au visage désormais impassible, le constat abrogé qu’ils eurent lieu, c’est-à-dire rien.
[Claude Lévi-Strauss, le 30 octobre 2009. Sam Fuller, clic-clic sinon, une chanson de Miossec, Mohamed Ali ou Jérôme Leroy.]
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