Si l'on y regarde bien, les chances qu'ont deux êtres de se rencontrer sont assez minces. Presque nulles, même, si l'on excepte les occasions codifiées fournies par la vie sociale : compagnonnage d'école ou de travail, voisinage de résidence et promiscuité obligée de certains loisirs. Le reste tient de la catastrophe.vendredi 5 août 2011
La Saint-Abel (des journées entières dans les livres #68)
Si l'on y regarde bien, les chances qu'ont deux êtres de se rencontrer sont assez minces. Presque nulles, même, si l'on excepte les occasions codifiées fournies par la vie sociale : compagnonnage d'école ou de travail, voisinage de résidence et promiscuité obligée de certains loisirs. Le reste tient de la catastrophe.
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